Voyager de manière anticyclique
Ceux qui souhaitent éviter les foules de la haute saison devraient plutôt planifier leurs voyages en basse saison. Cela permet non seulement de ménager son budget, mais également de découvrir la destination sous un autre angle. L’allongement de la saison favorise les emplois à l’année dans la région, lutte contre l’exode et permet des rencontres positives et approfondies entre les voyageurs et la population locale.
Se déplacer dans le respect du climat
En Europe, de nombreux trajets peuvent être effectués en train. Les trains de nuit sont particulièrement appréciés, raison pour laquelle le réseau ferroviaire européen est actuellement en cours d’extension. Par exemple, Amsterdam est facilement accessible en train depuis la fin de l’année dernière et Barcelone sera une nouvelle destination à partir de décembre 2023. Mais même ceux qui prennent l’avion peuvent apporter leur contribution et compenser leurs émissions de CO2 occasionnées par le vol grâce à des projets climatiques certifiés de myclimate.
Choisir des hébergements certifiés durables
Lors du choix d’un hébergement, il est judicieux de s’assurer qu’il est certifié durable ou qu’il intègre le thème de la durabilité dans sa philosophie. La Smiling Gecko Farmhouse au Cambodge, gérée par une association suisse à but non-lucratif, en est un bon exemple. L’objectif de Smiling Gecko est de lutter durablement contre la pauvreté de la population locale. Le Farmhouse offre des places de formation et de travail ainsi qu’un hébergement confortable pour les voyageurs intéressés par ce projet.
Rencontrer la population locale
Choisir des hébergements, des restaurants, des commerces ou des guides locaux, c’est apporter une contribution importante au soutien de la population locale et apprendre à mieux connaître sa culture. Cela peut se faire en tant que voyageur individuel ou lors d’un voyage en Estonie avec Kontiki, la marque affiliée de Kuoni, où l’on peut loger et se restaurer chez des petits fournisseurs locaux.
Enrichir ses connaissances linguistiques
Un voyage est toujours une bonne occasion de s’informer sur les cultures et les langues étrangères et d’apprendre de nouvelles choses. Même si, dans de nombreux endroits, il est possible de communiquer dans nos langues nationales ou en anglais, il vaut la peine de jeter un coup d’œil au dictionnaire et de mémoriser quelques expressions dans la langue nationale de la destination. C’est non seulement une marque de respect, mais également un bon moyen d’entrer en contact avec la population locale.
Utiliser des articles à usages multiples
Il vaut la peine de prendre avec soi des articles réutilisables, par exemple une gourde d’eau, afin d’éviter le plastique à usage unique. La compagnie de navigation française Ponant, qui souhaite réduire sa consommation de plastique de 80 % d’ici 2023 par rapport à 2018 et qui encourage activement ses clients à y contribuer, prouve que cela peut être mis en œuvre dans tous les domaines du tourisme.
Éviter le gaspillage alimentaire
Le gaspillage alimentaire dans le tourisme survient généralement lorsque les buffets sont trop grands ou que les voyageurs se servent trop. Un changement de mentalité à ce sujet a lieu de plus en plus souvent dans les hôtels. Un exemple est le complexe hôtelier cinq étoiles LUX* Le Morne sur l’Île Maurice, qui s’est fixé comme objectif, entre autres, de ne pas produire de déchets alimentaires. Pour ce faire, il suit une approche de réduction, de réutilisation et de recyclage des déchets alimentaires.
Respecter la nature et l’environnement
La tentation est grande, lorsque l’on se trouve pour la première fois dans un environnement naturel nouveau ou exotique, de partir à la découverte de sentiers inconnus. Il est néanmoins important de respecter les habitats des animaux sauvages et de ne rester que sur les chemins autorisés. Pour observer les animaux dans leur environnement naturel, il est préférable de le faire dans des régions sélectionnées. L’une d’entre elles se trouve au cœur de la Tanzanie, où une fondation a fait revivre un corridor animalier disparu et œuvre à la sensibilisation des touristes et de la population locale.
Être attentif lors de l’achat de souvenirs
Quoi de mieux pour se rappeler ses vacances que de ramener des souvenirs ? La prudence est toutefois de mise. En effet, si le souvenir provient d’animaux ou de plantes protégés, cela peut d’une part coûter très cher sous forme d’amende, et d’autre part avoir de graves conséquences écologiques. Les souvenirs appropriés sont ceux qui sont produits, dans la mesure du possible, à partir de ressources naturelles et régionales, générant une valeur ajoutée locale et issus du commerce équitable.
Agir ensemble pour faire une différence
En assumant la responsabilité de leurs voyages, les voyagistes et les touristes apportent une contribution importante. Cela peut se faire sous la forme des conseils ci-dessus ou d’autres actions qui soutiennent la population locale ou soulagent l’environnement. Cela permet ainsi de créer ensemble un tourisme durable et orienté vers l’avenir.
Kuoni et ses marques affiliées s’alignent sur les 17 objectifs de durabilité de l’ONU, qui ont pour but de développer le tourisme de manière plus durable d’ici 2030. La maison de marques de Kuoni DER Touristik Suisse est en outre le premier grand voyagiste suisse à avoir obtenu le label TourCert, reconnu au niveau international, et offre, avec son propre label de durabilité « engage – people and planet », une vue d’ensemble transparente et uniforme des prestations internes et externes en matière de durabilité. Pour la première fois, l’entreprise résume son engagement en faveur du développement durable dans une brochure monothématique. Vous trouverez plus d’informations sur les voyages mentionnés ci-dessus dans la brochure ou sur le site web de Kuoni.